BIO
Daniel Canty est auteur, etc. Depuis la fin du 20e siècle, il élabore, entre littérature et édition, cinéma et théâtre, art visuel et design, une œuvre où l’écriture se prête à toutes les métamorphoses. Nous nous en tiendrons ici aux livres.
Son titre le plus récent est La société des grands fonds, une exploration des rapports flottants entre la littérature, l’eau et le temps. Mappemonde, un essai autofictif sur les origines banlieusardes de sa vocation littéraire, et VVV, l’atlas géopoétique de trois « odyssées transfrontières » réalisées avec l’artiste Patrick Beaulieu sont parus en 2015. Il est également, entre autres ouvrages, l’auteur d’un récit, Les États-Unis du vent (2014) et du roman-collection Wigrum (2011).
Daniel travaille depuis quelques années à un cycle d’auto-science-fiction, qui a donné lieu, dans différents contextes artistiques, aux ouvrages spéculatifs Mademoiselle Manivelle (2017), L’été opalescent (2016) et Bucky ball (2014). Il poursuit aussi l’écriture de deux feuilletons : Sept proses sur la poésie, publié à chaque livraison de la revue Estuaire, et le roman en ligne Costumes nationaux. Il croit que la fiction fait aussi partie de la réalité. Il a de nombreux projets.
Site Web : danielcanty.com
Mention de source : Benoit Aquin
*** « Traité du Gloupe » et le monologue du Gloupe sont extraits de Mademoiselle Manivelle, une contribution de Daniel Canty au projet Wanderer: (re)Marking de Douglas Scholes, produit par Partners in Art pour l’événement Repères2017 / LandMarks2017. Crée par Partners in Art et présenté par TD, Repères2017 / LandMarks2017 est une projet Signature Canada 150.